dimanche 28 juillet 2013

MANIFESTION A TUNIS APRES L'ASSASSINAT DE MOHAMED BRAHMI

 
Mohamed Brahmi, député de l'opposition de gauche, est tombé sous les balles de tueurs inconnus, devant son domicile de l'Ariana, dans la banlieue nord de Tunis. Cette exécution, menée de façon très professionnelle  ( une dizaine de balles tirées à bout portant par deux hommes à moto) a eu lieu le jour même du 56e anniversaire de la proclamation de la République tunisienne.
Hier, des milliers de manifestants se sont rassemblés dans les rues de Tunis
 
 
 
 

 
De notre envoyé spécial en Tunisie

Hier manifestation devant le Bardo c'est-à-dire le parlement tunisien
 
Face à face les deux camps d'un côté le FRONT POPULAIRE réclamant
  • la démission du gouvernement, de nouvelles élections et en attendant un gouvernement de SALUT PUBLIC ainsi que  la dissolution de l'ANC l'assemblée nationale constituante. Ces mots d'ordre font consensus en revanche le mot d'ordre demandant au peuple tunisien de créer des comités populaires d'autogestion dans toutes les municipalités ne fait pas l'unanimité toutefois SIDI BOUZID (berceau de la Révolution) en a créé un ainsi que la ville du KEF et d'autres villes.
  • De l'autre côté séparé par un cordon de policiers, les militants d'Ennhada qui parlent, pour distiller la peur, d'une situation à l'Egyptienne alors que la situation n'est pas la même : ne serait-ce que parce que l'armée tunisienne ne tient pas la place que tient l'armée en Egypte....
  • Les deux cortèges étaient radicalement différents.
  • D'une part le nombre,  les partisans du FRONT Populaire étaient dix fois plus nombreux, d'autre part la composition des manifs. 
  • Pour le Front populaire des jeunes essentiellement, des femmes en très grand nombre, des hommes bien sûr en revanche du côté
  • Ennahda des rangées d'hommes barbus ou pas et bien sûr les femmes derrière . Cet ordonnancement de la manif a provoqué des rires des moqueries. A quatre heures du matin il y a eu des heurts mais sans gravité.
Les murs des quartiers populaires sont couverts de slogans anti-islamistes :
 "Du travail pas la charia"
, "les femmes ne se laisseront pas faire" désormais les quartiers classe moyenne aussi . Bref le Front populaire semble, pour le moment, avoir le vent en poupe et être une alternative crédible.
   Eve

dimanche 9 juin 2013

TROISIEME ASSISES POUR ANTIBES - JUAN LES PINS








TROISIEME REUNION DES  "ASSISES POUR ANTIBES - JUAN-LES-PINS"
MARDI 11 JUIN A 18 H 
SALLE DES ASSOCIATIONS,
COURS MASSENA ANTIBES
 
 
Emploi – Développement économique – Vie des quartiers.
 
Face à la droite qui détient la quasi-totalité des communes de la Communauté d’Agglomération de Sophia-Antipolis (C.A.S.A.) et son Conseil communautaire, il est temps de rassembler le peuple de gauche et d'écologie afin de battre en brèche cette hégémonie libérale. Le Front de gauche de la C.A.S.A. lance un appel à toutes celles et à tous ceux qui ne renoncent pas au changement.
 
Nous vous invitons à construire ensemble des propositions progressistes et écologiques pour notre territoire.
 
Ces assises sont à votre disposition. Venez vous y exprimer.

mardi 7 mai 2013

COMMUNIQUE DE PRESSE DU FRONT DE GAUCHE SUR LES SUITES DU 5 MAI


Le Front de Gauche se félicite du succès historique de la marche du 5 mai. Un an après l’élection de François Hollande, cette manifestation a confirmé d’une part le refus du peuple de gauche de la politique d’austérité menée par le gouvernement, d’autre part la possibilité de rassembler une majorité alternative appuyant une autre politique. La présence de très nombreux syndicalistes, salariés d’entreprises en lutte et le caractère populaire de la marche forment de ce point de vue un grand sujet de satisfaction. De même que celle d’Eva Joly et de nombreux élus, responsables et militants d’Europe Ecologie – Les Verts qui constitue un événement majeur. Enfin le mot d’ordre de changement de régime qu’exprime l’appel à une 6ème République a largement irrigué la marche.
La réponse du gouvernement n’a pas été à la hauteur de cette formidable aspiration. Au lieu de rassurer ceux qui ont permis la défaite de Nicolas Sarkozy il y a un an, Jean-Marc Ayrault a préféré dire une fois de plus sa sollicitude pour les chefs d’entreprise et annoncer la privatisation partielle d’entreprises publiques ! De son côté Manuel Valls joue de la provocation en minorisant outrageusement le nombre de manifestants.
Cette marche établit un rapport de force, ouvre de nouvelles perspectives, galvanise les énergies mais elle doit surtout être le début d’un processus. C’est pourquoi le Front de gauche, dans le même objectif d’élargissement que le 5 mai, propose d’ores et déjà d’autres rendez-vous dans les semaines à venir :
- la mobilisation aux côtés des syndicats le 16 mai en faveur de la loi d’amnistie sociale et de la loi interdisant les licenciements boursiers.
- le maximum d’initiatives populaires le premier week-end de juin sur le même mot d’ordre que la marche du 5 mai contre l’austérité, la finance et pour la 6ème République sous des formes décidées localement : marches, rassemblement, etc… dans les régions et départements.
- Le soutien à la marche des femmes contre l’austérité le 9 juin.
- les assises du 16 juin dont nous proposons la co-organisation à tous ceux, personnalités, associations, syndicats et forces de gauche qui partagent les objectifs d’une politique alternative à celle appliquée aujourd’hui par le gouvernement.
Le 5 Mai 2013

jeudi 18 avril 2013

MARCHE CITOYENNE POUR LA 6ème REPUBLIQUE

 
L’affaire Cahuzac suscite la colère et la nausée. D’une gravité extrême, elle ne révèle pas seulement l’absence de probité et d’honnêteté d’un homme. Elle met à jour, une nouvelle fois, un système oligarchique profondément néfaste, une démocratie à bout de souffle, la collusion grandissante entre les hautes sphères financières et celles de l'Etat. Il faut mettre fin au règne de la finance.
L’heure n’est pas au bricolage mais à la réorientation de la politique du pays et à la refonte du cadre institutionnel. Au moment où le gouvernement demande au plus grand nombre de se serrer la ceinture et après l’intervention télévisée d’un Président qui confirme son cap visant à ne rien changer, cet épisode misérable précipite la crise politique.
Le Front de Gauche est engagé dans la bataille contre l’austérité à l'image de sa campagne "pour une alternative à l'austérité". Il participera à la manifestation du 9 avril contre l’ANI, appelle les parlementaires à ne pas retranscrire dans la loi cet accord minoritaire. Dans l'immédiat, il exige la suspension du débat parlementaire sur ce texte pour légiférer en urgence contre le pouvoir de la finance, contre les paradis fiscaux, y compris en Europe, contre les conflits d’intérêt. Il faut des contrôles, des normes nouvelles, et pas seulement des appels à la morale individuelle, des moyens financiers pour faire face à la fraude fiscale.
La défiance des citoyennes et citoyens à l’égard des responsables politiques atteint son seuil critique. L’oligarchie croit en sa toute puissance, en son impunité. C’est pourquoi la réplique doit être forte et claire. Le Front de Gauche défend la perspective d'un processus constituant pour une nouvelle République. Redéfinir les règles sociales et démocratiques est le moyen pour que le peuple reprenne le pouvoir. La VIe République visera à élargir le socle des droits, à étendre la souveraineté populaire, à favoriser la démocratie sociale.
Face à l'accélération de la crise sociale et politique, le Front de Gauche assumera toutes ses responsabilités pour que la colère légitime débouche sur l’espoir et la transformation sociale. Le Front de Gauche propose à toutes les forces et les personnes qui ont voulu le changement en mai dernier et plus largement au peuple, contre la finance et l'austérité, à une grande marche citoyenne pour la 6ème République le 5 mai à Paris.

mercredi 17 avril 2013

ASSISES POUR ANTIBES - JUAN LES PINS

Hier s'est tenue la première rencontre des "Assises pour Antibes - Juan les Pins" avec Cécile DUMAS ( PCF), Gérard PIEL (PCF) Daniel ALATI (Gauche Anticapitaliste).

 




Vous pouvez écouter l'ensemble des débats sur la Radio de gauche, tous les soirs de la semaine à 19h.http://laradiodegauche.caster.fm/

samedi 13 avril 2013

ASSISES POUR ANTIBES - JUAN-LES-PINS

 



PREMIERE REUNION DES "ASSISES POUR ANTIBES - JUAN-LES-PINS"
MARDI 16 AVRIL A 18 H SALLE DES ASSOCIATIONS, COURS MASSENA A ANTIBES
 
Face à la droite qui détient la quasi-totalité des communes de la Communauté d’Agglomération de Sophia-Antipolis (C.A.S.A.) et son Conseil communautaire, il est temps de rassembler le peuple de gauche et d'écologie afin de battre en brèche cette hégémonie libérale. Le Front de gauche de la C.A.S.A. lance un appel à toutes celles et à tous ceux qui ne renoncent pas au changement.
Nous vous invitons à construire ensemble des propositions progressistes et écologiques pour notre territoire.
Des propositions de gauche qui portent des droits nouveaux, développent la démocratie sociale, mettent au premier plan le refus de l’austérité, la solidarité et les valeurs de notre république : Liberté – Egalité – Fraternité.
L’austérité, la précarité, le mal-logement, les régressions sociales que subissent des millions d’hommes et de femmes de notre pays sont aussi vécus par des milliers de familles de la C.A.S.A.
Le chômage, le coût de la vie, la dégradation des conditions de travail des salariés, les droits sociaux en danger, les services publics qui disparaissent, voilà à quoi sont confrontés une grande majorité de nos concitoyens.
Un environnement dégradé, des difficultés à se déplacer, à stationner à un prix toujours plus exorbitant, un littoral privatisé avec un port où règne une nomenklatura d’un autre âge, voilà ce que nous subissons.
Les élections municipales vont se dérouler au printemps 2014. Elles seront l’occasion de mettre en échec les majorités UMP qui dirigent les communes. Elles permettront de faire entrer à la C.A.S.A. une force de gauche et écologiste organisée, nombreuse et sans compromis avec la droite.
Nous vous proposons de lancer les assises de la ville afin de construire un projet pour Antibes. Cela, nous voulons le faire par une démarche citoyenne. Notre ambition est claire,
construire avec vous, le changement en 2014.
 


En effet, nous vivons dans une ville où les fractures, les divisions, les injustices et les inégalités sont nombreuses. Cela n'est pas une fatalité, d'autres choix sont possibles.
Nous refusons une politique au bénéfice des privilégiés ne permettant plus à la majorité de la population de vivre décemment à Antibes – Juan les Pins.
Nous, nous ne renonçons pas à changer la vie, à changer la ville.
Nous portons l’alternative à l’austérité dans le pays pour une transformation sociale et écologiste. Nous porterons un projet global pour Antibes Juan-les-Pins : emploi, logement, transport, service public, culture, écologie, solidarité… avec vous.
Ces assises sont à votre disposition. Exprimez-vous. Avec nos assemblées citoyennes, faites connaître nos initiatives.

Jusqu’en juin, des initiatives de proximité dans les quartiers avec les cahiers pour Antibes et 3 initiatives thématiques :
Mardi 16 avril à 18h Salle des Associations : Aménagement du territoire – Transports – Urbanisme – Logement.

Vendredi 17 mai à 18h Salle du 8-Mai : Démocratie – Services publics – Mouvement associatif.

Mardi 11 juin à 18h Salle des Associations : Emploi – Développement économique – Vie des quartiers.

dimanche 31 mars 2013

DECLARATION DE L'ASSEMBLEE DES MOUVEMENTS SOCIAUX A TUNIS

 
 

Nous, réunies et réunis lors de l’Assemblée des mouvements sociaux du Forum social mondial 2013 à Tunis affirmons l’apport capital des peuples du Maghreb-Mashrek (du Nord d’Afrique jusqu’au Moyen Orient) dans la construction de la civilisation humaine. Nous affirmons que la décolonisation des peuples opprimés reste pour nous, mouvements sociaux du monde entier, un grand défi à relever.
Au sein du processus FSM, l’Assemblée des mouvements sociaux est l’espace où nous nous réunissons avec notre diversité, pour construire nos agendas et luttes communes contre le capitalisme, le patriarcat, le racisme et toute forme de discrimination et d’oppression. Nous avons construit une histoire et un travail communs qui a permis certaines avancées, notamment en Amérique latine, où nous avons réussi à freiner des alliances néo-libérales et concrétiser plusieurs alternatives pour un développement socialement juste et respectueux de la nature.
Ensemble, les peuples de tous les continents mènent des luttes pour s’opposer avec la plus grande énergie à la domination du capital, cachée derrière des promesses de progrès économique et d’apparente stabilité politique.


samedi 30 mars 2013

TUNIS : UN FRONT COMMUN D'ORGANISATIONS POLITIQUES CONTRE LA DETTE EST NE.


En amont du Forum Social Mondial (FSM) de Tunis, s’est tenue les samedi 23 et dimanche 24 mars la première rencontre méditerranéenne contre la dette, les politiques d’austérité et la domination étrangère, pour une méditerranée libre, démocratique, sociale, solidaire, féministe et respectueuse de l’environnement.
Organisée à l’appel du Front Populaire (une coalition regroupant 11 partis politiques de gauche radicale, des associations et des personnalités indépendantes en Tunisie dont un des leaders Chokri Belaïd a été assassiné le 6 février 2013), cette rencontre a réuni une vingtaine de formations politiques provenant du pourtour méditerranéen parmi lesquelles pour la France, le Front de Gauche et le NPA (France) ;

jeudi 14 mars 2013

 
 
DROIT AU LOGEMENT POUR TOUS
 
 

Dans les Alpes-Maritimes
70% de la population correspond aux critères d’attribution d’un logement dit social
P La quasi-totalité des villes ne respectent pas la loi SRU (20% de logements sociaux dans les municipalités de plus de 3 500 habitants), elles sont hors-la-loi.
P Des logements, des locaux, publics et privés sont inoccupés.
P les loyers au regard des revenus sont inabordables.
P La rénovation des logements est une question de santé public et de dignité humaine.
UNE LOI CONCERNANT LE LOGEMENT DOIT ETRE DISCUTEE EN JUIN 2013
MELONS-NOUS DE CE QUI NOUS CONCERNE
MANIFESTATION SAMEDI 16 MARS 2013
 
POUR LE DROIT AU LOGEMENT POUR TOUS
10H30 - Gare Riquier – Nice

mardi 26 février 2013

Un ANI qui nous veut du mal



L’accord national interprofessionnel (ANI), ou « accord emploi » du 11 janvier signé par le patronat et certaines organisations syndicales représente un recul social majeur. Les soi-disant « nouveaux droits pour les salariés » sont en réalité de portée limitée et comportent nombre de dérogations et de dispositions qui en permettent le contournement. Par contre, les mesures en faveur du patronat portent des coups sévères au droit du travail. Cet accord s’inscrit dans le droit fil des préconisations, appliquées partout en Europe, de la Troïka (Commission européenne, Banque centrale européenne, Fonds monétaire international) : démantèlement du droit du travail, chantage à l’emploi pour baisser les salaires et les droits sociaux au nom de la compétitivité. Il contribuera ainsi à la spirale dépressive dans laquelle les politiques d’austérité enfoncent l’Union européenne.
L’accord aggrave encore, après les lois Fillon de 2004 et 2008 qu’il faut abroger, la remise en cause de la hiérarchie des normes en permettant de nouveau qu’un accord d’entreprise soit moins favorable que la convention collective et que la loi : en cas de « graves problèmes conjoncturels » de l’entreprise (quelle entreprise ne connaît pas de problèmes conjoncturels et surtout qui en juge ?), il ne laisse d’autre choix au salarié que d’accepter la baisse de son salaire et l'augmentation de son temps de travail sous peine de licenciement. L’accord réduit considérablement les droits et les possibilités de contestation et de recours à la justice des salariés et de leurs représentants. Il remet en cause des prérogatives importantes des instances représentatives du personnel et renforce le pouvoir des employeurs, notamment celui d’imposer la « mobilité » des salariés (changement de lieu ou de poste de travail).
Loin de permettre « la sécurisation de l’emploi et des parcours professionnels des salariés » cet accord va, au contraire, aggraver la précarité du travail en libérant le patronat de nombre d'obligations. En dépit des promesses qui avaient été faites par le gouvernement, l'accord ne réduit pas les inégalités professionnelles entre les femmes et les hommes, alors même que la précarité de l'emploi concerne en premier lieu les femmes, prépondérantes dans le temps partiel (80%) et plus souvent touchées par les CDD, le chômage et le sous-emploi.
Enfin cet accord est illégitime. Il a été signé par trois confédérations syndicales représentant une minorité de salariés, alors même que les règles de représentativité syndicale sont sur le point de changer. Les parlementaires de droite se disent prêts à voter telles quelles les dispositions qu’il contient, mais ni le président de la République, ni la majorité de l’Assemblée nationale n’ont été élus pour faire reculer les droits des salariés. Transposer ces reculs sociaux dans la loi représenterait donc un grave déni démocratique.
Nous appelons les salariés-es, et plus largement, tous les citoyens-nes à lire ce texte, à l’analyser, à tenir partout des réunions pour en débattre ensemble et faire entendre leurs exigences auprès de leurs élus, tout particulièrement ceux de gauche, pour qu’ils ne votent pas ce texte. L'heure est bien plutôt à la sécurisation des emplois contre les licenciements, pour un travail de qualité, sans précarité, avec des droits sociaux de haut niveau pour les salariés, les chômeurs et les retraités. Nous ferons tout pour que cet accord n’acquière pas force de loi et nous appelons à soutenir toutes les initiatives en ce sens, en particulier les mobilisations syndicales.
Appel soutenu par :
Attac, CADAC, CGT Commerce Paris, CGT Hôtels Prestiges et Economiques, C&A, CNDF, CNT Solidarité ouvrière IdF, Convergence de défense et de développement des services publics, FASE, Fédération des Finances CGT, Fondation Copernic, FSU, Gauche Anticapitaliste, GU, Les Alternatifs, Les efFRONTé-e-s, Marches européennes, NPA, Osez le féminisme, PCF, PCOF, PG, R&S, Résistance sociale, Union syndicale Solidaires

jeudi 21 février 2013

MOUANS-SARTOUX ASSISES POUR L'ECOSOCIALISME

PROGRAMME DES ASSISES POUR L'ECOSOCIALISME
SAMEDI 23 FÉVRIER de 14H à 18H
SALLE DE L’AQUARIUM MÉDIATHÈQUE  à MOUANS-SARTOUX 

VENEZ NOMBREUX


mardi 12 février 2013



FAITES LA LOI POUR LE DROIT AU LOGEMENT POUR TOUS !

SAMEDI 16 FEVRIER 2013
de 9h30 à 12h - Salle du 8-Mai à ANTIBES
FAITES VOUS ENTENDRE
En présence d’Isabelle PASQUET, sénatrice des Bouches du Rhône, membre de la Commission des affaires sociales, des élus, des militants du Front de gauche, des syndicalistes, des associatifs, etc.
POUR CONSTRUIRE UNE LOI
POUR L’HUMAIN D’ABORD
Venez remplir les cahiers législatifs pour obtenir une loi qui permette réellement
LE DROIT AU LOGEMENT POUR TOUS !


lundi 4 février 2013

Lancement de la campagne pour une alternative à la politique d'austérité du gouvernement dans le 06

Article de Nice-Matin qui rend compte de la conférence de presse du samedi 2 février organisée par le Front de Gauche pour le lancement de la campagne pour une alternative à la politique d'austérité du gouvernement.

jeudi 24 janvier 2013

Le Front de Gauche lance sa campagne : L’alternative à l’austérité c’est possible



Le Front de Gauche lance sa campagne : L’alternative à l’austérité c’est possible
Le Front de Gauche a contribué à la défaite de Nicolas Sarkozy. Il souhaite maintenant une politique qui réponde à la nécessité de sortir notre pays de la crise et qui réponde aux attentes nombreuses en matière d’emploi, de pouvoir d’achat, d’accès à l’éducation, aux soins, à la culture…
Depuis 6 mois, les grands axes de la politique du gouvernement ne répondent pas à ces attentes. François Hollande et le gouvernement ont d’abord fait adopter le traité européen qui impose la restriction continuelle des dépenses publiques et met en place des politiques d’austérité. Ils ont ensuite accordé un cadeau de 20 milliards aux grands patrons alors que notre économie souffre déjà des intérêts somptueux payés aux banques privées et des richesses accaparés par les actionnaires des grandes entreprises. Enfin, s’il ratifiait un accord sur l’emploi initié par le MEDEF il s’engagerait sur une voie qui, si elle devient une loi, va entrainer toujours plus de flexibilité et de nouvelles dégradations du code du travail.

Cette politique social libérale va à l’échec. Toutes les politiques du même type ont échoué en Europe où déjà 8 pays sont en récession. Nous ne voulons pas que la France suive la même voie. De juin 2011 à décembre 2012, les mesures budgétaires prises ou annoncées par le gouvernement représentent 45 milliards soit 2,25% du PIB et les experts les plus mesurés comme ceux de l’OFCE (Office français de la conjoncture économique) prévoient que cela se traduira par une baisse du PIB de 3,6%. Et ces mesures n’incluent pas le nouvel « effort » que va nécessiter le pacte de compétitivité.

mardi 15 janvier 2013

L'accord sur l'emploi ne doit pas devenir une loi


Communiqué du Front de gauche, 13 janvier 2013

Le Front de gauche regrette la signature des accords sur l’emploi. Ce texte inspiré par le MEDEF marque une avancée pour celui-ci. Cette organisation patronale s’en est d’ailleurs aussitôt réjouie. S’il y a sécurisation c’est celle qui permet plus de flexibilité ! Le CDI est toujours plus attaqué comme norme de notre droit du travail. La hiérarchie des normes est contestée : les salarié-e-s ne pourront plus refuser un avenant à leur contrat de travail si un accord d entreprise le prévoit. Sur bien des aspects, cet accord rompt avec notre modèle social et républicain.
Cet accord est en réalité minoritaire puisque les syndicats qui, à juste titre, le refusent, qu’ils aient participé ou non à la négociation, sont ensemble les plus représentatifs des salarié-e-s.
La bataille n’est donc pas finie : ce texte ne vaut pas loi.
Le Front de gauche soutiendra les mobilisations des organisations syndicales qui, lui étant opposées, interpellent le Parlement pour qu’il ne le vote pas en l’état. Majoritaires à l’assemblée nationale, les parlementaires PS et Europe Ecologie-Les Verts ont une lourde responsabilité : elles et ils peuvent refuser cette régression sociale. Nous appelons les assemblées citoyennes et toutes les structures du Front de Gauche à interpeller leurs député-e-s et sénateur-trices de gauche. Ce texte ne doit pas passer !
***
Pour mémoire, le 23 février à Metz, lors du meeting de lancement de la campagne nationale « L’alternative à l’austérité, c’est possible », le Front de gauche, avec la participation de syndicalistes, présentera des propositions pour l’emploi et les droits des salarié-e-s et montrera que de vraies solutions pour la sécurisation des salarié-e-s et de l’emploi existent.

mercredi 9 janvier 2013

communiqué commun ALTERNATIFS PACA GAUCHE ANTICAPITALISTE PACA



UNE TRIPLE VOLONTE COMMUNE
Une nouvelle rencontre régionale entre Alternatifs et Gauche anticapitaliste a eu lieu à Antibes le 5 janvier 2013.
Partie prenante du Front de Gauche, les Alternatifs et la GA participeront activement à sa prochaine campagne contre la politique d'austérité dictée par les marchés financiers et mise en œuvre par le gouvernement en dépit des engagements du candidat Hollande, politique d'austérité aux effets catastrophiques sur le plan social, destructeurs sur le plan écologique et régressifs sur le plan démocratique.
L'austérité va aggraver la crise, accroître le chômage et les inégalités, empêcher l'indispensable transition écologique, s'accompagner sur le plan des droits ou bien de la poursuite de la politique menée par la droite comme on le voit déjà à propos des sans-papiers ou des Roms ou bien d'une capitulation devant les pressions réactionnaires et cléricales comme on le voit à propos du mariage pour tous.
Le danger est clair : en se refusant au changement, le gouvernement actuel veut faire payer la crise capitaliste au peuple. Il prend ainsi le risque d'alimenter le désarroi, la recherche des boucs-émissaires et le désespoir et prépare indirectement la revanche électorale d'une droite extrême dont le projet se confond avec celui du FN.
Dans ce contexte et à l'échelle des Alpes-Maritimes, des Bouches-du-Rhône et du Var, comme à l'échelle de la région PACA, les Alternatifs et la GA vont accélérer leur rapprochement dans l'action et la réflexion, en affirmant une triple volonté commune :
  • contribuer à la réussite de la prochaine campagne anti-austérité du Front de Gauche, y compris par le développement de propositions alternatives à la politique d'austérité et en particulier, sur le plan de l'emploi, avec la réduction massive du temps de travail sans baisse de salaire et avec embauches correspondantes ;
  • contribuer au regroupement des composantes de la gauche alternative présentes dans le Front de Gauche et plus largement de toute la mouvance dispersée de la gauche alternative, aujourd'hui dans un pôle coopératif de gauche alternative et demain dans une nouvelle force politique « rouge et verte / écosocialiste », féministe, autogestionnaire et altermondialiste ;
  • contribuer à l'enracinement et au développement du Front de Gauche dans une optique citoyenne permettant, au-delà des composantes organisées, l'ouverture aux hommes et aux femmes sans appartenance politique qui refusent de subir, aspirent au changement et veulent participer aux activités du Front de Gauche comme outil de l'alternative à gauche
    Antibes, le 5 janvier 2013
Les Alternatifs PACA
Gauche Anticapitaliste PACA

Contribution de la Gauche Anticapitaliste aux assises pour l'écosocialisme organisées à l'initiative du Parti de Gauche


Gauche anticapitaliste
Courant unitaire pour l’écosocialisme



Contribution suite aux assises pour l’écosocialisme


Le Parti de Gauche a pris l’initiative d’organiser des Assises pour l’écosocialisme et soumis dans ce cadre un projet de manifeste. La Gauche Anticapitaliste, courant unitaire pour l’écosocialisme, a jugé cette initiative intéressante, très positive, et a accepté d’y participer : outre une intervention d’une de nos porte-parole lors des assises, notre courant est co-organisateur, dans certaines villes, d’assises locales prolongeant la réunion nationale de début décembre 2012 à Paris. Le processus engagé doit se poursuivre tout au long de l’année 2013 pour se conclure sur de nouvelles assises nationales en décembre prochain. La Gauche Anticapitaliste manifeste sa disponibilité pour la co-organisation de cette deuxième édition.
La GA se félicite que de plus en plus de forces se rejoignent pour défendre un projet global de société, alternatif au capitalisme, tournant le dos à l'impasse productiviste et tirant les leçons du désastre que fut le stalinisme. Un projet global que nous nous accordons à nommer désormais l'écosocialisme. Celles et ceux qui se battent contre le capitalisme ont besoin d'un horizon post-capitaliste, d'une espérance, pour donner un sens à la nécessaire transformation révolutionnaire de la société.